REVENDICATION TERRITORIALE ABÉNAKI D'ODANAK? PAS BESOIN

REVENDICATION TERRITORIALE ABÉNAKI D'ODANAK? PAS BESOIN

Messagepar admin » Lun 15 Oct 2012 23:05

PAS BESOIN D'UNE REVENDICATION TERRITORIALE POUR LES ABÉNAKI D'ODANAK EN 2012

J'aimerais informer la population Abenaki et leurs locataires, que plusieurs documents légaux font preuves que votre Nation est toujours propriétaire de tous les terrains, en autre celui du cadastre abrégé de la partie de la Seigneurie de Saint François du Lac possédée par la Tribu des Abenaki.

Ce cadastre a été fait le 24 janvier 1861 et enregistré au numéros 70 et procédé sous l'Acte Seigneurial de 1854 et ses amendements. Dans ce cadastre abrégé sont décrit les 170 lots en location et le nom de chacun des particuliers de Pierreville à qui les terrains ont été loués initialement pour de l'exploitation agricole. Aucun terrain des 170 lots n'a été vendu à des non Abenaki.

La loi sur les Indiens ne permet pas aujourd'hui pas plus qu'elle n'a permis dans le passé de telles transactions foncières avec des non-indiens. A cette époque vos familles étaient heureuses de louer les terres Abénaki et ravit de la bienveillance et de votre charité. Si par après vos familles ont été soumises ou forcées à participer à des activités illégales et frauduleuses par ignorance, j'en suis navré. Les lois canadiennes existe pour protéger tout les canadiens incluant les Abénaki et leur Nation.

J'aimerais aussi vous informer que peut être le Conseil de Bande d'Odanak présent et des municipalités empêchent toujours que sorte la vérité sur la pire fraude foncière jamais commise à l'égard d'une Nation autochtone au Québec. Faut ce demander pourquoi et exiger des réponses ?

La population Abénaki désire probablement clore ce dossier, mais peut être pas de la même façon que le Chef de la Nation Abenaki, les maires des municipalités ou du député de Vimont. Ce que la majorité de la population Abenaki devrait exiger de ces élus c'est certainement que justice leur soit rendu en court fédérale. Ce dossier à teneur de juridiction fédérale ne regarde en rien le gouvernement du Québec. Plusieurs Abenaki n'ont aucun envi que leurs terres de location deviennent une carte à jouer pour des élus en échange d'un Casino ou quoi d'autre.

Si déja dans le passé une certaine correspondance faisait état d'arrérages et de factures secoua le député de Vimont d'un grand fou rire, ce rire devrait être perçu comme une insulte publique envers l'intelligence de la population de la Nation Abénaki. Même si cela doit déplaire au Chef du Conseil de Bande d'Odanak, aux maires des municipalités, aux censitaires (locataires) ou au gouvernement du Québec , la population de la Nation Abénaki à le devoir de soumettre en court fédérale une demande de mise en demeure contre le Conseil de Bande , la fabrique et les municipalités avoisinantes pour payer à la population de la Nation Abénaki les comptes de location en souffrance et d'ajuster les loyers aux taux d'aujourdhui. .

La population Abenaki doit se prendre en main et elle-même intenter des poursuites pour faire la lumière sur les activités de cueillette illégale de taxes municipales par les municipalités avoisinantes ou la fabrique sur des terrains appartenants aux Abenaki, de la fraude foncière causée par la falsification de titres et enregistrements de terrains appartenant aux Abenaki en faveur de locataires non autochtones.

Cet situation n'est pas une nouvelle pour les locataires de terrains de la réserve, la population avoisinante, le Conseil de Bande et les municipalités. Ils savent très biens que les locataires ne sont pas et qu'ils n'ont jamais été propriétaires des terrains de location sur la réserve d'Odanak. Ces terrains ne pourront jamais être sujet à une revendication territoriale, car les Abenaki ne peuvent pas revendiquer dans des cours fédérales ce qui leurs appartiens déjà.

La responsabilité est maintenant dans le camps du Conseil de Bande d'Odanak de faire valoir leur autorité et la juridiction de la Nation des Abenaki sur votre réserve. Indépendamment de projet de Casino ou autre qui existe toujours , le Conseil de Bande sous estime malheureusement les revenus que pourraient procurer le loyer et les taxes foncières des 170 terrains en locations pour financer son autonomie gouvernementale en 2012.

Déjà un ancien agent des terres d'Odanak avais pris la responsabilité et le devoir d'envoyer des factures des comptes en souffrance pour protéger l'intégrité territoriale de la réserve et les intérêts fonciers de la population et de la Nation Abenaki. Il est évident aujourd'hui que le Conseil de Bande en cachant toujours la vérité à la population, démontre qu'il manque de conviction à vouloir toujours aujourd'hui prendre en charge la totalité de la gestion foncière de vos terres de votre réserve et de prélever comme tout bon gouvernement des taxes d'occupation, d'entreprises ou de loyers pour des terres en location par des non autochtones. Comme résultat il fût démis de ses fonctions et licencié.

De plus la population D'Odanak réunie en assemblée générale communautaire est en droit d'exiger de son Conseil de Bande que les frais de location des terres de la réserve soit majorés immédiatement pour réfléter la réalité d'aujourdhui.

Il est préférable pour la population Abenaki de laisser le système de justice du Canada trancher cette question, car elle est peut être plus capable de faire confiance à ceux qui désirent à tout pris cacher la vérité au détriment des intérêts de l'ensemble de la population Abénaki.

LA population Abenaki réunie en assemblée générale communautaire doit exiger une enquête fédérale publique et indépendante sur la situation des terres de location pour faire respecter ses droits fonciers et inhérents, protégés par les lois canadiennes. Du moins elle doit exiger une session d'information ou un référendum pour décider de l'avenir foncier de ses terres de réserves en location.

Il faut que le présent agent des terres dOdanak offre à la population Abenaki et celle des municipalités avoisinantes de le contacter si elles désirent s'informer honnêtement ou recevoir des copies des documents publiques qui sont disponibles à tous. Ils devraient être distribués à partir des bureaux du Conseil de Bande, ceux des municipalités et ceux des bureaux de poste. C'est à la population Abenaki et Québécoise de cette région de l'exiger pour s'informer avant de tirer des conclusions finales. Je suggère qu'il est grand temps que les anciens de la Communauté D'ODANAK s'implique dans ce dossier avant que les documents disparaissent par magie.

On sait Jamais, il ce peut que des membres du présent Conseil de Bande appui la population Abenaki d'Odanak dans leur démarches. Faut leur demander .
Claude Aubin
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