DIVISION AU SEIN DE LA NATION MALÉCITE QUÉBEC AVRIL 1997

DIVISION AU SEIN DE LA NATION MALÉCITE QUÉBEC AVRIL 1997

Messagepar admin » Ven 5 Nov 2010 01:39

Le 15 mai 1997
Ralph Brant
Directeur Général
Terres et Services fonciers et Fiduciaires - Revenus et Administration des Bandes
10 Wellington street, north Tower
Hull Québec
K1A 0H4

Monsieur,

Il existe présentement une division insoutenable qui règne au sein de la Bande de la Première Nation de Viger entre les Malécites de souche et les étrangers de la Nation nouvellement inscrits sur la liste de bande. Cette division a été causé par un mauvais travail de recherche généalogique entrepris par votre Ministère et qui a permis le transfert administratif et l'inscription de plus de 250 Québécois au registre de la Bande de Viger. Nous vous écrivons cette lettre car nous avons été avisés que le Ministre des Affaires Indiennes est ouvert à entendre des propositions pour trouver une solution à ce problème pour éviter des confrontations violentes éventuelles.

Nous aimerions par la présente vous aviser que le présent Conseil de bande à Viger ne sont pas des Malécites et qu'ils se sont servi d'une fausse déclaration dans leur généalogie pour usurper une identité nationale Malécite. Ce sont des étrangers qui se sont vu refusé accès à la communauté de Bécancour d'ou ils réclament qu'ils sont originaires. Ils ont été élu en 1995 par 250 de leur descendants maintenant majoritaires au sein de la Bande de Viger. Ce processus administratif est le summum du processus du génocide de la Nation Malécite par une autre Nation Autochtone.

Nous avons espoir que ce processus de génocide entrepris consciemment par ces étrangers envers la Nation Malécite au Québec et appuyé par le du ministère des Affaires Indiennes région de Québec devra être stoppé immédiatement.

Déjà des événements de provocations par ces étrangers qui contrôlent maintenant La nation Malécite à Viger ont forcé en mars 1997 les femmes Malécites de souche de Viger gardiennes de la culture Malécite à répondre de leur frustration. Elles ont essayé d'enlever les boites de scrutins aux employés du Ministère qui ont orchestrés avec ces étrangers un vote de ramification à une entente d'une revendication qui ne reçoit pas l'approbation des 251 Malécites de souche et qui ont refusé de voter sur cette entente.

Seul une majorité de 250 étrangers nouvellement inscrits et qui ont aucune connaissance de l'histoire et des revendications des Malécites de Viger ont voté sur cette entente. Pour la majorité des Malécites de souche ce vote est illégal et crée maintenant une guerre ouverte entre tous les Malécites et les immigrants illégaux de notre Nation.

C'est pourquoi en tant qu'Anciens, Chefs héréditaires et honoraires nous désirons proposer une solution et permettre à tous ceux qui sont concernés d'en trouver parti. Le contraire, à notre avis peut dégénérer en une confrontation violente et perpétuelle ou voir même une occupation du territoire et de la route nationale qui traverse notre réserve, pour empêcher ces Abenaki de s'y installer.

Une chose doit être clarifiée à tout le monde pour bien comprendre ce problème. Selon les documents qui ont été fournis au gouvernement fédéral pour rencontrer les normes de leurs inscriptions au registre fédéral pour être reconnu comme des indiens, les Jenniss et leurs descendants ont été légalement reconnus comme des indiens par le ministère des Affaires indiennes. Ils avaient été inscrits sur la liste générale 816 au début des années 1990. (1)

Toute la documentation disponible dans les archives Nationales et certainement celle qui à été fournie au Ministère des Affaires indiennes et du Nord Canada démontrent qu'ils sont des descendants sans équivoque d'Abénaki et de Montagnais. Ils sont originaires de Bécancour et ils n'ont jamais à travers leurs nombreuses migrations, leur histoire communautaire, sociale, culturelle et politique ainsi qu'à travers leur généalogie, été rattachés à aucune communauté Malécite, inscrits sur la liste de bande de Viger ou sur les listes des dividendes "interest payment lists" payés aux Malécites depuis 1869. Mais nous leur devons respect en tant qu'Abénaki et Montagnais. C'est le Chef Bernard Jenniss qui l'a dit lui-même publiquement aux médias à plusieurs reprises, qu'il n'était pas Malécite, mais qu'il l'était dans son coeur depuis qu'il a été transféré administrativement en prétendant être Malécite à Viger en 1993.(2)

Ils sont les descendants de Nicholas Tiennis sauvage Abénaki marié en 1843 dans la paroisse de l'Immaculé Conception de Bécancour avec une française Ursule Isabelle.(3) On les retrouve sur les registres du recensement de 1851 à Tadoussac ou ils se sont établis et mariés avec des Métis Montagnais. A travers leur généalogie entreprise sous l'ordre du Conseil des Anciens l'épellation de leurs noms de familles changent constamment. Ils sont les ancêtres des Jenniss et leurs descendants.(4) Dès leurs inscriptions le ministère des Affaires indiennes savait que les Jenniss étaient des Abenaki remarié avec des Montagnais et non des Malécites.(5) Pourquoi donc cette lettre de Mme Sabourin a-t-elle été écrite.

Ce n'est que plus tard que les Jenniss et leurs descendants recherchaient une bande pour résider sur une réserve et bénéficiés de tous les services financier et d'habitation rendus aux indiens vivants sur une réserve.

Ils ont été refusés par la communauté Abénaki de Bécancour qui contrôle son effectif et qui subissait le cas des Landry. De son côté, le ministère a cru bon d'inscrire les Jenniss et leurs descendants sur la liste générale 816. Cartes indiennes en main, ils sont allés à Bertiamis chez les Montagnais ou ils ont été refusés. Ils sont allés et à Tobique en affirmant qu'ils étaient des Malécites reliés à Charles Nicolas numéros de bande 47. Tobique a refusé car le Conseil de Bande avait constaté qu'il n'avait aucun lien avec le Charles Nicolas dont les descendants vivent présentement à Tobique.(6)

Sans avoir fait des recherches approfondies ou d'avoir consulté les Anciens de Viger ou Raymond Nicolas, fils toujours vivant de Charles Nicolas au numéro de bande 47, Mme Amplemant Aubin qui n'était pas elle même une Malécite de souche, croyait qu'ils étaient des Malécites, parce qu'elle avait reçu une lettre de Mme Sabourin du Ministère des affaires indiennes confirmant que les Jenniss étaient des descendants de Charles Nicolas au numéro 47 de la bande de Viger. Les Jenniss n'ont pas informé Mme Amplemant Aubin des raisons de leur refus par Tobique.

C'est ce qui avait facilité la décision de Mme Aubin et de plusieurs Malécites de souche bien intentionnés, à inviter à revenir au bercail ceux qu'ils croyaient être des Malécites de souche. Ils croyaient sincèrement que les Jenniss étaient tous des Malécites. Sans clarifier à toute la population Malécite qu'ils n'étaient pas des Malécites, les Jenniss et leurs descendants ont acceptés l'invitation de la Grande Chef Gaétane Aubin à joindre la bande de Viger par transfert administratif(8)

A la lueur de la situation présente et ce jusqu'à aujourd'hui, aucun Malécite conteste que les Jenniss et leur descendants soient des Métis Abenaki et Montagnais qui sont devenus des Indiens selon les règlements de la loi sur les indiens. Ce qui est contesté par les Malécites de souche de Viger est la façon que les Jenniss et les 250 autres de leurs descendants ont été transférés sur la liste de Bande de Viger à partir de la liste générale 816.

Ce transfert à été permis seulement grâce au résultat d'une mauvaise recherche entreprise par un employé du Ministère qui les avait faussement connecter à la famille de Charles Nicolas numéro 47 de la Bande Viger.(9)

Étant donné leur grand nombre, les Jenniss et leur descendants ont pris sournoisement en deux termes d'élection le pouvoir et le contrôle unilatéral de toutes activités de la Bande. c'est depuis qu'ils sont devenus les seuls élus sur le Conseil de la Nation Malécite de Viger que les choses se sont envenimées. Les Malécites ont vite compris que leur Nation était contrôlée par des Indiens Abenaki qui n'avaient aucune connaissance et respect de l'histoire des Malécites de Viger parce qu'ils ne sont pas et ne seront jamais des Malécites. Les Malécites subissent présentement un processus d'une revendication suite à une cession de leur terres de Viger ratifiée illégalement en 1869. Les Malécites de souche qui ont droit aux bénéfices de cette Cession et qui selon la teneur de ce document légal, sont les seuls qui ont droit de bénéficier des dividendes ou l'altération de ce document légal ou de voter sur un processus de ratification de cette cession n'ont pas pu ou n'ont pas voulu participer aux votes. Seul les 250 Abenaki , ceux qui ne sont pas bénéficiaires parce qu'ils ne sont pas des Malécites de souche ont majoritairement voté en faveur de la ratification. Les Malécites sentent qu'ils sont devenu aujourd'hui des étrangers dans leur propre communauté et ce avec l'appui du Ministère et des employés de la région de Québec.(10)

C'est pourquoi les Malécites ont soumis de nombreuses plaintes au Ministre des Affaires indiennes, Ron Irwin pour révoquer le transfert administratif de ces Abenaki. La réponse du Ministère fut toujours la même. Le Ministre reconnaissait que les Jenniss et leurs descendants n'étaient pas des Malécites mais qu'il ne pouvait pas intervenir dans les décisions de la bande lorsqu'elle a permis un transfert administratif des Jenniss de la liste 816. C'est à cause de l'article 10 de la loi sur les indiens que le ministère refuse de transiger sur ce dossier pour révoquer ce transfert et en remet la responsabilité au Conseil de Bande contrôlé majoritairement par les Jenniss.(11)




Plusieurs Malécites veulent éviter de rendre cette situation insoutenable à feu et à sang, une guerre perpétuelle entre les étrangers et les Malécites. Ce sont ceux qui proposent des changement dans la structure du Conseil de Bande et des procédures d'élections pour mieux distribuer le pouvoir entre tous les clans familiaux.

Ce sont aussi ceux qui croient que la seule solution possible dans le respect de leur frère Abénaki, est que le Ministère des Affaires indiennes organise ce groupe en une bande Abénaki indépendante des Malécites de Viger et donne a ces étrangers un lopin de terre pour développer leur propre réserve. Ce lopin de terre devrait être choisi sur leur territoire ancestral Abénaki, près d'Odanak et Bécancour.

D'autres plus radicaux exigent la révocation immédiate du transfert administratif parce qu'ils sont convaincus que le Ministère est coupable de créer la division au sein de la communauté parce qu'il avait mal informé les Malécites sur l'origine autochtone des Jenniss.

Tous les Chefs contactés de la Grande Confédération Wabanaki croient qu'il est du devoir et de la responsabilité de ces étrangers nouvellement inscrits à Viger de comprendre qu'ils doivent prendre leur propre avenir en main et laisser aux Malécites de Viger ce qui leur appartient. Ces étrangers devront travailler fort et pétitionner le Ministre des Affaires Indiennes avec fierté pour revendiquer leur droits et bâtir leur propre avenir en tant qu'Abénaki et avec les Abénaki. Malheureusement pour eux ces étrangers devront comprendre que tant qu'il y aura des Malécites vivant à Viger, ils ne retrouveront jamais la paix sur la réserve de Withworth ou il ont l'intention de s'établir ou partout sur le territoire ancestral Malécite, sur une terre d'exil qu'ils occupent frauduleusement et ce loin de leur territoire ancestral Abénaki.

Pour éviter le pire, plusieurs recommandent qu'ils quittent immédiatement Viger et retournent chez eux de leur propre gré sur leur propre territoire ancestral afin d'éviter la confrontation avec tous les Malécites de toutes les communautés. Les Jenniss et leur descendants ne seront jamais acceptés comme des Malécites par l'ensemble de la population Malécite des 7 communautés Malécites, parce qu'ils seront toujours à leurs yeux des étrangers.

Déjà toutes les communautés Malécites et Wabanaki ont été avisé de cette situation et nous procédons à aviser les Chefs des Premières Nations du Québec par le truchement de cette lettre et preuves à l`appui.(12)

Reste à savoir maintenant s'il y a une volonté politique de la part du Gouvernement fédéral et du Conseil de Bande de Viger et ceux de la Nation des Abénaki de Bécancour et d'Odanak à vraiment résoudre le problème des Abénaki à Viger avant que des situations irréparables surviennent et l'inévitable arrive.

Le Conseil des Anciens composé strictement de Malécites de souche demande une rencontre avec vous pour discuter de la possibilité d'organiser une table de médiation sous le contrôle de l'Assemblée des Premières Nations et du Ministère des Affaires Indiennes. Cette table devrait être composée des Chefs des communautés Abénaki du Québec et des Malécites du Nouveaux Brunswick en présence d'une représentation du Clan des Jenniss et d'une représentation de chacun des principaux clan familiaux de Viger pour trouver une solution à ce problème qui affecte les Malécites de Viger.



Comme vous le savez l'acquisition d'une identité indienne selon la loi sur les indiens est une chose qui appartient à la gestion du ministères et ne garanti en rien au détenteur de ces cartes indiennes une identité communautaire, sociale, culturelle et politique à une Première Nation. Les Malécites sont nés Malécites. Personne ne peut devenir Malécite parce qu'il s'est servi frauduleusement de l'administration de votre ministère pour déjouer celle des Malécites.

Au nom du Conseil des Anciens Malécites de Viger, du Conseil des Chefs héréditaires Malécites, des Chefs Honoraires Malécites nous vous remercions de votre attention,


Jaqueline Launière,

CONSEIL DES ANCIENS MALÉCITES DE SOUCHE

Eva Athanas, Marie Athanas, Edouard Launière Leblanc, Maurice Launière Leblanc, Léandre Nicolas, Guy Launière, Eva Launière, Antoine Launière, Marie Launière , Evelyn Nicholas, Paul Pollard Denis, Aurèle Nicolas, Marie Athanas, Jaqueline Launière,

CHEFS HÉRÉDITAIRES MALÉCITES DE SOUCHE

Antoine Launière, Marcel Launière Lauzon,Tim Denis Pollard, Paul Denis Pollard, Claude Athanas, Henri Athanas, François Aubin,

CHEFS HONORAIRES DE SOUCHE

Johanne Aubin, Claude Aubin, Gaétane Aubin, Dany Nicholas, Mme Gabrielle Cossette Aubin.

CC Conseil de Bande de Viger,
Conseil intérimaire de Viger,
Conseil des Anciens de Viger,
Grand Chef des Premières Nations du Québec,
Chef Odanak,
Chef Bécancour,
Chefs des communautés Malécites, Nouveau Brunswick
Version Anglaise

Le 15 mai 1997

Je , ________________________________________ appuie dans sa totalité le contenu de la lettre que Madame Jacqueline Launière a préparée en notre nom pour faire parvenir à Mr. Ralph Brant, Directeur general, Terre et Services Fonciers, Revenus et Administration des Bandes, Ministère des Affaires indiennes et du Nord Canada, 10 rue Wellington , Hull Québec, K1A 0H4, au sujet de nos craintes sur la situation volatile qui peut dégénérer en violence causée par une division insoutenable qui règne au sein de la Nation Malecite a Viger entre les Malécites de souche et les étrangers nouvellement inscrits sur la liste de bande selon les raisons énoncées dans cette lettre. Je suis d'accord comme signataire pour organiser la rencontre avec Mr. Brant.

SIGNATURE_________________________________________________

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Mai 15 1997

I__________________________________________totally support the content of the letter prepared on our behalf by Jacqueline Launière and to be forwarded to Ralph Brant, Director General, Land Trust and Services, Revenues and Band Administration, Department of Indian and Northern Affairs Canada 10 Wellington street, North Tower, Hull Québec, K1A 0H4, regarding our concerns on the volatile situation that exist presently and could degenarate in violent actions between the Maliseet and the stranger to the Nation. This situation is caused by a division in the Maliseet Nation at Viger between the Maliseet descents and the Abenaki newly registered to the Band list for the reasons stated in the letter addressed to Mr Brant. I agree as a signator for the meeting to be organized.

SIGNATURE_____________________________________________


DOCUMENT ÉCRIT PAR CLAUDE AUBIN

le 23 avril 1997
RENEE TREMBLAY
GÉRANTE DE BANDE
Salut Renée,

Voici une lettre qui a été prépare par le Conseil des Anciens Malécites de Viger. Je te demande de la lire attentivement.

Tous comme les Jenniss à Viger les Malécites s'organisent finalement. Les Malécites ne peuvent plus supporter l' arrogance, le manque de respect de l'histoire des revendication des Malécites et surtout la prétention des Jenniss et de leurs descendants d'être des Malécites quand ils sont des Abénaki. Ils ne tolère encore moins l'empiétement des Abenaki sur leur territoire. Ils ont malheureusement poussés trop loin la provocation avec le processus de la ratification. L'inévitable devait arrivé et ce ne sont pas les menaces de poursuite envers les Malécites qui vont faire arrêter ce processus de confrontation perpétuelle envers les Abénaki à Viger.

J'espère que tu sauras impliquer tes Anciens du clans Jenniss et Tremblay dans ce processus, et de bien dire toute la vérité sur ce qui s'en vient et surtout sur ce qui vous êtes comme Abénaki. Vous devrez travailler à votre propre solution pour éviter la confrontation perpétuelle avec les Malécites de Viger pour que nous puissions tous vivre en paix chacun chez nous.

Ne soit pas assez dupe de croire que vous recevrez toujours la protection constante des Employés du Ministère pour couvrir leur propre erreurs, ou de faire usage de menaces de poursuite envers les Malécites qui s'oppose et qui exige une justice, ou par l'usage des gros bras ou de garde du corps. Tu apprendras vite que vous n'avez pas encore rencontrer les Warriors Malécites. Ce n'était que pour la plupart des anciens et des femmes à Rivière du Loup. L'usage et la protection ou l'intervention de la GRC ou la police provinciale attirera plus d'indiens que vous en avez jamais vu dans votre vie. Il est malheureux que vous ne compreniez aucunement la façon que les Malécites et les Nation autochtones opèrent et l'ampleur de la situation que vous êtes en train de soulever.

Je crois qu'il est inévitable que vous devez vous organiser chez vous sur votre territoire ancestrale avec votre propre Nation comme des Abénaki si nous voulons tous que la paix règne. Vous ne pouvez plus usurper une prétention d'être Malécite quand vous êtes des étrangers de la Nation. Il est donc de votre devoir de vous identifier en tant que tel et de prendre vos propres responsabilités nationales et communautaires comme des Abénaki. Ce n'est pas un jeux d'indiens cette situation la, c'est l'identité nationale des Malécites qui est en jeu.

Tant qu'a Bernard Jenniss et ses descendants nous pouvons leur dire officiellement et avec preuve écrite qu'il n'est pas et ne seront jamais des Malécites, qu'ils ne seront jamais acceptés comme tel car toute la population Malécite et Wabanaki sait maintenant et avec preuve à l'appui que vous êtes tous des Abénaki et Montagnais. Je te promet par contre que vous serez respectes en tant que tel. Lis bien cette ébauche de lettre car elle va bientôt être officielle. Si tu désires m'apporter autre chose pour la compléter, je leur proposerai des corrections ou clarifications. Du moins tu sais ce qui s'en vient.

LETTRE ÉCRITE PAR CLAUDE AUBIN
Claude Aubin
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